Plus qu’un (L’oie)sir, une institution !
Pour son quatorzième numéro, l’Oie est comme un coq en pâte. Elle a recruté une basse-cour d’élite, des gallinacées expérimentées de retour de migration ainsi que des petits canards pas-si-vilains et pleins d’énergie. Elle vous propose sa dernière couvée, un JDO augmenté, une revue améliorée, gavée de dix-huit pages supplémentaires, pour un bébé de grande qualité.
Pour l’occasion, c’est l’Afrique de l’Ouest qu’elle a choisi comme destination. Elle s’y dandine, dynamique dindon éprise de désert. Là-bas, elle a découvert des contrées méconnues au bord de l’éclosion mais en proie à un héritage pesant et à d’incessantes prises de bec.
Puis, alors que l’oisellerie passait à l’heure d’hiver, c’est en vert qu’elle a choisi de repeindre sa vie. Inquiète du changement climatique et des abus de ses congénères, elle a décidé de secouer le poulailler et d’aller à la chasse aux canetons cendrés. « Arrêtons donc de cacarder, de roucouler, de caqueter ! La planète a besoin de tous les ovidés à ses côtés ! ».
Enfin, elle s’est aussi faite lanceur d’alerte et habile exploratrice des arcanes des Relations Internationales. On l’a pourtant prévenue des dangers qui guettent les oiseaux un peu trop indiscrets, mais elle n’en a cure ! Ce n’est pas une poule mouillée et les Relations Internationales, pour elles n’ont jamais eu de secret.
Il y a quelques années, elle n’avait peut-être pas la gueule de l’emp(l’Oie) mais à force de travail et de détermination, l’Oie est devenue une icône, un monument au sein de la ferme. Cinq ans déjà qu’elle a repris du poil de la bête, pour le plus grand plaisir de ses lecteurs et contributeurs, toujours plus nombreux. L’Oie, reine de la basse-cour, pavane et fait le paon. Elle est très fière de son parcours et continue sa migration, toujours aussi hardiment.
Cacardement vôtre,
Mathias Penguilly
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8,00 €Prix
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